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Jean Messhia

Président de l'Institut Apollon

Immigrations, osons le débat des origines

Alors que la question de la place de l'immigration s'invite dans le débat, Jean Messiha, président de l'institut Apollon, regrette que celui-ci s'annonce déjà verrouillé par les progressistes. Et appelle à différencier l'immigration selon les origines.

Gérald Darmanin tente à grand peine d’imposer une nouvelle loi sur l’immigration. Cette loi ne sera, à n’en point douter, qu’un petit serrage de vis censé répondre à la très mauvaise passe dans laquelle nous sommes. Mais cette démarche, si modeste et peu ambitieuse qu’elle promet d’être, fait pourtant déjà débat au sein de la macronie, dont la perfidie vient encore de se révéler avec la proposition de loi sur le vote des étrangers. Avec ce projet scélérat, la stratégie macroniste est donc limpide : Darmanin pour rassurer la France de droite et Houlié pour appâter l’électorat de gauche et immigré.

Le fameux « en même temps » du locataire de l’Elysée, machiavélique et putride comme souvent.

Nous aurons donc un grand débat sur l’immigration à l’automne qui, comme toujours, fera la part belle aux ONG immigrationnistes et aux églises qui, reconnaissons-le, le sont tout autant. Aucune personnalité ou organisation réclamant l’arrêt de l’immigration ne sera entendue par le gouvernement. Et les personnalités du camp national hostiles au laxisme migratoire seront comme toujours décriées et discréditées...

La suite de la tribune sur Valeurs actuelles.

Aujourd’hui Renaud Camus, célèbre écrivant qui fut le premier à parler de grand remplacement, vient d’être banni de Twitter. Tout comme notre président Jean Messiha, sans même parler de Donald Trump …
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> Un récent sondage montre pourtant que 67% des français croient au grand remplacement confirmant que loin de n’être qu’une perception, les Français sentent massivement la menace existentielle qui pèse sur leur pays. Du coup, les censeurs et les administrateurs de Twitter vont avoir du boulot ces prochains jours s’ils veulent évincer tous ceux qui adhèrent aux thèses nationales et patriotes, c’est-à-dire  la moitié des Français..
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> Il est évident et malheureux de voir que toutes les têtes de pont de la « cancel WOKE pseudo culture » tels que le gang des Traoré ou bien celui de l’UNEF qui se permet de faire des réunions non mixtes « racisées » en France n’ont pas droit au même traitement de faveur de la part de Twitter.
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> Car il ne faut pas se raconter d’histoire : la menace sur notre démocratie se quantifie au nombre d’attaques graves contre la liberté et le pluralisme dans notre pays,

> Défendre la France c’est défendre aussi notre conception de la liberté d’expression qui ne doit pas être laissée aux mains de GAFAM aussi anonymes, intouchables que tentaculaires et opaques.

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